Lettre de Anthelme Michel Laurent de Migieu à Jean-François Séguier, 1780-10

DOI : 10.34847/nkl.e1a93d59 Publique
Auteur : Anthelme Michel Laurent de Migieu

[transcription] Du mois d'octobre 1780.



Monsieur,



On m'a reproché, ainsi que vous le faites de ce que j'ai été trop laconique et de ce que je n'ai pas donné l'explication en détail de chaque morceau, mais pour cela il m'aura fallu un grand nombre de livres héraldiques que je n'avais pas ni n'étais à portée d'avoir. De plus, cela aurait fait plusieurs gros volumes qui m'auraient coûté fort ch...er à faire imprimer sans savoir si cela aurait débit, car ces sortes de connaissances ont peu d'amateurs dans ses siècles-ci. Trois ou quatre personnes qui ont fait imprimer m'ont averti qu'ils en avaient été la dupe aux dépens de leur bourse. Monsieur de Brosses a fait imprimer un Saluste excellent avec le remplacement des lacunes, les portraits des principaux personnages d'après l'antique, bien gravés, beau papier, belle impression, rien n'a été oublié. Cela ne se débite pas. Il faut remarquer encore que le but de mon ouvrage n'était que de donner des exemples de la façon de graver des sceaux dans chaque siècle, de façon que ceux qui en trouvent dans leur chemin puissent les confronter au livre et par là juger de quel siècle ils sont. Il est vrai que j'ai pris un imprimeur qui était prêt à quitter, ce que je ne savais et qui a beaucoup négligé l'impression qui donne un oeil de dégoût à l'impression, où il y a des fautes, des quantités dont je vous envoie l'errata ci-après.

L'inscription de Sassenay a encore une singularité, c'est que la 1ère ligne est en beaux caractères, le reste fait par un très mauvais ouvrier. Il n'est pas étonnant qu'elle ne soit pas connue. Elle sert de pierre d'autel, elle est à l'envers dans un endroit un peu obscur près de la châsse de Saint Enoch en pierre à laquelle les pèlerins ont fait un trou avec leur couteau afin d'en avoir des miettes. Sassenay est un endroit peu fréquenté et où on est peu curieux, cependant on m'a refusé la pierre en disant qu'elle avait toujours été là et qu'elle y était [fol. 34 v] bien quoi que j'offris d'en faire remettre une toute pareille.

Puisque vous avez trouvé des curieux à qui vous avez donné les exemplaires que je vous avais envoyés, je vous en renvoie encore trois exemplaires et de plus les deux feuilles n° I des duc de Bourgogne qui vous manquaient. La bibliothèque Sainte Geneviève de Paris a acquis une assez belle pacotille de sceaux. Quand j'irai à Paris, je verrai s'il y a quelque chose qui ait rapport à Arles et je vous en avertirai. Le bibliothécaire se donne grand peine à le déchiffrer. Il y réussira car il a de bons yeux.

Mon voyage d'Italie n'est pas celui de Grèce de Monsieur Gouffier-Choiseul, cela est fait par l'abbé de Saint Non, Le Prince, Fragonard. Cela vaut mieux que celui de Monsieur Gouffier qui donne beaucoup de géographie, ce que les anciens ont dit sur chaque endroit, s'arrête beaucoup sur larticle des jolies filles, donne leurs portraits, mais donne peu d'antiquités quoi que l'endroit où il voyage en soit rempli. Du reste, l'impression et la gravure de l'ouvrage de Monsieur Gouffier séduit tout le monde. J'étais tenté de le prendre, mais quand je l'ai eu vu, je n'ai pas trouvé qu'il valut la pein d'y dépenser tant d'argent. Je m'en tiens à mon voyage d'Italie qui donne exactement les tableaux, les monuments, les antiquités, les [...] Il avait commencé à donner la ruine et la restauration l'un après l'autre, la vue d'un pays puis l'événement qui s'y était passé, mais de mauvais censeurs l'ont ou détourné disant que la restauration était souvent idéale et la représentation d el'événement trop adapté à nos idées. Pour moi, je pense différemment. Je crois qu'on fait bien de donner la ruine telle qu'elle est, mais j'approuve beaucoup ceux qui la restaurent en suivant sa genèse, les traces de la ruine, le goût de l'antique, les descriptions que les auteurs nous ont donné. c'est même une façon de former de bons architectes en les faisant travailler sur de belles choses et échauffer leur imagination par de beaux modèles. Dans l'architecture de Fischer, on a suivi cette méthode et il y a de trop beaux morceaux restaurés. Ce qui est restauré et trop beau et les morceaux du cru de l'architecte ne valent rien. J'étais étonné que personne de vos côtés n'ait pris le voyage d'Italie. Cela est curieux. On veut exécuter dans le même goût le voyage de France. J'ai vu les premiers cahiers qui ne sont pas mal. Ils détacheront et rendront par provinces. c'est la Bourgogne qui commence parcequ'ils [fol. 35 r] veulent suivre le cours des fleuves.

Il n'y a aucune inscription sur l'autel antique que j'ai acheté. Il y a des massacres de cerf. Il est triangulaire avec un trou dans le dessus. Il n'a guère que un pied et demi de haut. Il y a aussi deux petits morceaux de tombeaux. Si j'avais pensé, je vous les aurais fait dessiner et envoyé le dessin. Je crois avoir aussi mandé que j'avais un coffre en émail qui représentait le mariage du roi d'Angleterre avec une fille de France. Il y a une inscription gothique. Monsieur de Gébelin, auteur du monde primitif l'a enfin expliqué par le provençal. c'est de la langue romane. J'ai laissé mon coffre à Paris. Quand j'y serai, je vous enverrai cette inscription. Je n'ai pas les Antiquités septentrionales de Keysler mais je les chercherai. J'ai trouvéplusieurs autres cornets soit à Paris soit en Bourgogne qui ne sont pas dans les auteurs. J'en aurai bien cinq planches mais mon graveur est occupé et ne travaille pas pour moi, ce qui me retarde.

J'ai sur le chantier une douzaine de planches pour les sauvages. Il y en a cinq ou six gravées mais j'ai été arrêté tout court. Je me suis aperçu que pour y donner un coup d'oeil et même exprimer la chose dans le vrai, il fallait enluminer. Le graveur m'a dit que cela coûterait fort cher et qu'il fallait graver suivant une nouvelle façon par laquelle on tire la planche toute enluminée de suite. Il dit qu'il aime mieux recommencer des planches et suivre la nouvelle manière. Il y a à part deux ou trois gravures qui ont pris cette façon, mais aucun n'a voulu l'instruire sur le procédé. Le prince va publier un livre ou sera le procédé qu'il fait souscrire pour 120 lt. ce qui est cher, mais on y trouvera ce qu'il me faut. Ainsi me voilà sursis jusqu'au mois de mars que le livre paraîtra. Je prends la liberté de vous envoyer le préambule de l'ouvrage, vous priant de m'en dire votre avis, soit sur la distribution des matières, soit sur ma façon de concevoir les choses. On me reprochera encore cette fois de n'avoir pas assez expliqué mais je n'ai pas voyagé dans chaque pays. Je ne peux donner d'explications que celles que les auteurs ont données. Quelquefois j'ai rencontré des voyageurs. Ils reconnaissent les pièces mais pour expliquer, ils n'en savent guère plus que moi. Quand je saurai l'explication, je les donnerai. Il y a beaucoup de bonnes choses sur le Mexique, le Pérou, mais hors de là presque rien. Je donnerai beaucoup de morceaux qui n'ont encore paru e part. [fol. 35 v] Monsieur Chaussier n'a pas encore remis l'exemplaire à l'Académie de Dijon, ainsi je n'ai pu le voir, mais d'abord que vous croyez qu'il contient quelque chose de bon en antiquités, je vous prie de m'en envoyer un exemplaire et me mander ce que cela coûte. Quoi que j'aie une grosse bibliothèque, il s'en faut bien que je n'aie les livres qu'il me faut, surtout en antiquités. J'ai supputé que 4000 lt. ne me suffirait pas. Ces petites raisons ne laissent pas de déranger beaucoup les projets de ceux qui veulent travailler. Il y a cependant ici de grandes bibliothèques. Monsieur de Bourbonne pour valeur plus de 150 milliers, Monsieur de Chamblanc 80 mil, le Collège, les avocats, les capucins, beaucoup de petits cabinets, mais quand on cherche on ne trouve pas. J'ai été obligé de faire venir un Stralhemlberg d'Allemagne. On ne le trouvait e part à Paris, pas même à la bibliothèque du roi. Je ne l'ai pas encore vu. Nous verrons s'il répond à sa réputation. Il est cité par tous les auteurs.

J'ai l'honneur d'être avec le plus respectueux dévouement,





Monsieur,



Votre très humble et très obéissant serviteur.

De Migieu



On a trouvé ici une boucle d'or pour ceinturon pesant valeur 166 lt. avec quelques grenats d'enjolivement sur le plat. Le travail en est grossier et brut sur quoi on a jugé que ce n'était pas antique, que c`était français de trois ou quatre siècles de quelque chevalier. On en voulait plus que l'or qui était fort beau. Je ne l'ai pas pris. Je n'aime pas les morceaux en ord.



[fol. 36 r] Malgré la perfection à laquelle on se flatte que les sciences sont parvenues dans ce siècle-ci, il est des matières encore qui n'ont jamais été effleurée. Quantité d'auteurs ont recueilli avec soin les antiquités de toutes les nations. Personne n'a encore tenté de parler du costume des sauvages qui est le plus ancien de tous sans contredit, et cela n'est point étonnant car véritablement il y a dans ce travail de quoi effrayer, car on y trouve aucun guide, aucun secours, aucun renseignement. Les voyageurs ont peu cherché à se mettre au fait de l'histoire des nations dont ils parcouraient les pays. Ils nous ont transmis beaucoup de mensonges, des systèmes mythologiques extravagants. Il y a peu de faits certains à recueillir de leurs relations. Ils ont dédaigné de s'instruire à fond de l'origine, de la religion, de la langue d'un peuple barbare. Ils y ont trouvé les arts dans l'enfance et abandonné à la pure nature, des peintures telles à peu près que nos enfants les tracent sur les murailles, des sculptures telels que les font nos charpentiers ou menuisiers des campagnes, des écritures, des hieroglyphes dans le goût de celles qu'on trouve sur nos [...] et des calculs numériques tels que les font nos bouchers sur des tailles de bois. Voilà jusqu'où il faut pousser leurs recherches. Ils n'ont pas été plus loin, même les dictionnaires qu'ils nous ont donné des langues sauvages sont très imparfaits pour ne rien dire de plus, au point qu'il y en a beaucoup qu'on soupçonne presqu'entièrement imaginés. Des voyageurs subséquents n'ayant pas reconnu la langue que leurs prédécesseurs prétendaient avoir trouvée.

On dira à quoi peut servir à l'instruction et à l'agrément un recueil composé de pareilles choses, de quelle utilité cela peut-être pour les mots, quelle comparaison à faire de pièces aussi informes avec une suite de figures égyptiennes, étrusques, grecques et romaines dans lesquelles on trouve la noblesse, l'élégance des formes réunies à la pureté du dessin, à la justesse des proportions. Sous cette forme, cet ouvrage, quoique succinct, paraitra encore trop étendu, mais si on considére qu'il comprend l'origine de toutes les nations, que c'est l'introduction à l'histoire des premiers temps de laquelle nous n'avons aucune teinture, que cette étude peut nous y procurer des connaissances. On prendra une autre idée de la question.

Toutes les nations policées ont commencé par être sauvages sans en excepter une. Les égyptiens, les Grecs, les Romains, tous les Européens ont été sauvages. Cela paraît en problème. c'est un fait dont il n'a pas à douter. Même on trouvera dans les recueils des antiquaires des morceaux qu'il donnera comme égyptiens, grecs, romains très authentiques qu'on peut revendiquer avec la plus grande justice aux costumes sauvages. On trouvera à la fin de cet ouvrage des planches entières dans le goût sauvage tirées des livres d'antiquité de divers auteurs. On y verra clairement que dans le temps que ces peuples ont composé ces ouvrages, ils étaient véritablement sauvages.

/[fol. 36 v] Les Germains étaient encore sauvages quand les Romains commencèrent à leur faire la guerre. Ils avaient à peu près les moeurs et les lois des sauvages d'Amérique. Ils n'avaient point de villes. Ils vivaient de chasse, ils faisaient des incursions en suivant un chef réputé habile et choisi par les volontaires qui voulaient s'attacher à lui, la conquête des Gaules ne s'est pas faite autrement. Ils se croyaient tous égaux. Il n'y avait point de roi parmi eux. C`était le plus respectable de la bourgade qui était réputé chef, mais sans autorité et obligé de consulter le peuple dans toutes les affaires un peu importantes. Ils sacrifaient les hommes et il y a tout lieu de croire que dans les premiers temps ils les ont mangés. Quand César conquit l'Angleterre les Pictes existaient encore. ces peuples se peignaient le corps à la façon des sauvages. L'usage du fer a pénétré très tard chez tous les sauvages. Il n'y a aucun endroit de la terre même en où on trouve ne trouve des hâches, des coins, des flèches de pierre, tous les outils nécessaires de première nécessité. Tous les jours même à présent on en trouve en France, marques certaines que des sauvages ont habité les pays où se trouvent les instruments. à ces traitspouvons-nous méconnaître notre origine sauvage ? Avions-nous la petitesse d'en rougir?

De plus, quiconque veut raisonner à fond sur la nature des gouvernements doit commencer par approfondir quels ont été les premiers qui aient existé, sur quels principes ils ont été fondés. Ils seront fort surpris que nos lois dérivent des temps sauvages à la vérité plus développées ou peut-être plus embrouillées suivant les passions des hommes entre les mains desquelles elles ont été. On trouvera que tout usage dont on ne peut trouver l'origine remonte à ces premiers temps, enfin il est vrai dire qu'aucune nation policée n'a pu se flatter d'avoir produit le meilleur gouvernement possible. Ce sont des sauvages qui l'ont produit. Quelle admiration ne doit-on pas avoir pour les lois des Mexicains et des Péruviens, mais surtout des Péruviens qui faisaient des conquêtes par la persuasion, qui possédaient des biens en commun, chez qui il n'y avait point de pauvres chez qui l'agriculture était poussée au plus haut point, les chemins et les édifices publics entretenus dans la dernière perfection. L'obéissance au souverain, l'union et la douceur envers ses semblables poussées au dernier point, ah quels sauvages. Puissions-nous mériter de leur ressembler. Pour ce qui est des talents militaires, y a-t-il nation en Europe qui puisse se comparer aux Mexicains. Il ne leur manquait ni ordre, ni habitude science, ni courage, la poudre et les chevaux leur ont manqué. s'ils l'avaient eu, ils eussent certainement été vainqueurs, d'ailleurs c`était un événement marqué dans les destinés éternelles. Ils n'ont pu que chercher à le retrader et non à l'empêcher.

[fol. 37 r] Il ne faut point mépriser le gouvernement des sauvages. Il a ses avantages. Il est peut-être préférable à celui des nations policées. La liberté des individus y est conservée, l'énergie des hommes, l'héroïsme y est toujours porté dans la plus grande force. Un sauvage aux abois chante sa mort, brave ses ennemis. Le plus faible des sauvages ne s'y est pas démenti. Que feraient las nos héros d'Europe qui sont élevés dans la mollesse et les délices de la capitale. Ce genre de vie est si naturel à l'homme que beaucoup d'Européens l'ont préfér au nôtre. Il fait les hommes et les conserve dans leur véritable état.

Il est vrai qu'il n'est pas propre aux conquêtes, mais que l'avantage procure à l'homme l'étendue des états de son souverain. Le sujet le plus heureux est celui qui est soumis au plus petit prince de la terre, vu que c'est le gouvernement le plus doux. On me citera contre mon opinion les exemples des barbares qui ont soumis l'Empire romain, mais c`était une position forcée. Les Romains, brigands insatiables, poussaient, chassaient devant eux, détruisaient toutes les nations. à la fin, ils les auraient forcés de sortir de dessus la surface du globe. Les nations, poussées à bout, se sont aigries, armés de fureur ont senti qu'il fallait vaincre ou mourir. Elles n'avaient point de discipline, elles avaient du courage, de la fermeté, une constance à l'épreuve de tous les faits. Elles ont répété les petites attaques à la façon sauvage, les Romains sont tombés dans le luxe, ont perdu lerus vertus, leur discipline, se sont désunis. La persévérance des barbares a vaincu, ils se sont débordés sur l'empire. Ils se sont amplement vengés des vexations qu'ils recevaient depuis plusieurs siècles de ces tyrans de l'univers. Fades historiens, vous avez assez prodigué votre encens a de véritables tyrans. Toutes les fois qu'ils ont subjugué les barbares et quand ces barbares en honnêtes gens ont délivré le monde des fers, à peine avez-vous daigné célébrer leurs exploits. Il semble que vous ayez voulu les dissimuler, tant la tyrannie vous tenait au coeur.

Enfin, on ne méprisera plus ce nom de sauvage quand on saura que les Français ont été sauvages jusqu'à Clovis, les Saxons jusqu'à Charlemagne, que la moitié de la terre est plus encore sauvage, presque toute l'Amérique, l'Afrique, la Tartarie, une grande partie des îles de l'Asie, dans l'Europe les Lapons, une partie de l'écosse, la corse ont encore des moeurs de sauvages.

Quelle différence y a-t-il entre la nation policée et la nation sauvage, la nation policée comprend plus d'individus sur un moindre terrain et la sauvage comprend peu. Laquelle des deux à le plus d'avantages et le moins de besoin, laquelle a plus de gens contents, heureux ? c'est la nation sauvage. Que nous importe la multitude des individus, s'ils sont misérables? Faites des heureux. La terre sera toujours suffisamment peuplée. Les législateurs n'ont jamais eu d'autre but que de faire des heureux. Les grands états ont toujours été le théâtre de grands crimes.

[fol. 37 v] Il y aurait de quoi faire une multitude de réflexions sur cette matière, mais pour le présent il faut se restreindre à rassembler les matériaux. Quand on aura rassemblé les matériaux, quand on aura rassemblé assez de monuments et de connaissances sur un peuple, on pourra commencer son histoire, celle de sa religion, de la langue et de son gouvernement.

Cet ouvrage sera partagé en cahiers.

Le 1er contiendra les morceaux de Canada et de Mississipi.

Le 2e ce qui regarde les Caraïbes.

Le 3e les morceaux mexicains.

Le 4e les Péruviens.

Le 5e les terres australes.

Le 6e les côtes de Guinée, les Lapons, la Sibérie.

Le 7e les morceaux tirés des antiquités de plusieurs auteurs qui traitent du costume sauvage.

Le 8e le celtique qui approche beaucoup du costume sauvage en quelques parties quoiqu'il se rapproche du romain en d'autres.

Ces cahiers seront plus ou moins considérables suivant que la matière le comportera.

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Citer
Migieu, Anthelme Michel Laurent de (2021) «Lettre de Anthelme Michel Laurent de Migieu à Jean-François Séguier, 1780-10» [Letter] NAKALA. https://doi.org/10.34847/nkl.e1a93d59
Déposée par Emmanuelle Chapron le 31/10/2021