Preuves et présomptions en linguistique de corpus

DOI : 10.34847/nkl.55fe2j5w
version 2 (25 mars 2021, 19:48:20) version 1 (25 mars 2021, 19:48:20)
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Auteurs : Guillaume Desagulier et ORCID Sylvain Kahane

Séminaire de l'ED 139 (Université Paris Nanterre)

“Preuves et présomptions en linguistique de corpus”
Nous abordons une question fondamentale pour la discipline : dans quelle mesure un travail sur corpus constitue-t-il la preuve d’une hypothèse modélisatrice en linguistique ? Après un rappel épistémologique sur la linguistique de corpus (son contexte d’émergence, ses prétentions, ses applicati...ons et ses limites), nous proposons deux études de cas en syntaxe : la forte limitation des auto-enchâssements centrés et la vérification d’un universal implicatif à la Greenberg. Ces études reposent sur l’exploitation de corpus où les phrases sont annotées par des arbres de dépendances syntaxiques.

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ID : 10.34847/nkl.55fe2j5w/3ae9bfd9a105d526ca29bc34bea543ef5bc73db0

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“Preuves et présomptions en linguistique de corpus” Nous abordons une question fondamentale pour la discipline : dans quelle mesure un travail sur corpus constitue-t-il la preuve d’une hypothèse modélisatrice en linguistique ? Après un rappel épistémologique sur la linguistique de corpus (son contexte d’émergence, ses prétentions, ses applications et ses limites), nous proposons deux études de cas en syntaxe : la forte limitation des auto-enchâssements centrés et la vérification d’un universal implicatif à la Greenberg. Ces études reposent sur l’exploitation de corpus où les phrases sont annotées par des arbres de dépendances syntaxiques.
Mots-clés
Linguistique de corpus Treebanks Universal Dependencies preuves présomptions chomsky
Licence
Creative Commons Attribution Non Commercial Share Alike 4.0 International (CC-BY-NC-SA-4.0)
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Citer
Desagulier, Guillaume ; Kahane, Sylvain (2021) «Preuves et présomptions en linguistique de corpus» [Audiovisual] NAKALA. https://doi.org/10.34847/nkl.55fe2j5w
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Déposée par Guillaume Desagulier le 25/03/2021
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nakala:creator Guillaume Desagulier et ORCID Sylvain Kahane
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Nous abordons une question fondamentale pour la discipline : dans quelle mesure un travail sur corpus constitue-t-il la preuve d’une hypothèse modélisatrice en linguistique ? Après un rappel épistémologique sur la linguistique de corpus (son contexte d’émergence, ses prétentions, ses applications et ses limites), nous proposons deux études de cas en syntaxe : la forte limitation des auto-enchâssements centrés et la vérification d’un universal implicatif à la Greenberg. Ces études reposent sur l’exploitation de corpus où les phrases sont annotées par des arbres de dépendances syntaxiques.
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